Promenade, chasse et danger [PV n'importe qui]

Je marchais paisiblement à travers les hautes herbes. Le soleil venait de se lever. La neige fondait à grand peine, laissant sur son sillage de grande flaques d'eau glacée. La rosée sur les hautes herbes déposait ses gouttes sur mon pelage noir lorsque je passais. Mes yeux bleus glacés guettaient le moindre mouvement, et mes oreilles se tournaient au moindre bruit. Un aboiement me fit sursauter. Ce n'était que les chiens de la ferme des Merily. Depuis quelques jours, je poussais les recherches pour retrouver ma sœur disparue de ce côté. Peut être avait elle voulut devenir chatte domestique... Tout était possible.
Je m'approchais un peu plus de la ferme. Les chiens aboyaient de plus en plus et me casaient les oreilles. Ces horribles bêtes sont vraiment bêtes, moches et sans intérêt. Comment les Bipèdes pouvait-ils supporter de les entendre brailler en longueur de journée ? Pire encore, comment faisaient les chats ?
Un bruit dans les broussailles me fit sursauter. Lentement, très lentement, je rampais jusqu'à ce qui devait être mon repas. Entre deux branches d'aubépine, j'aperçus ...

Je lance les dés !!!

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#1 'Chasse' :


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#2 'Proie' :

Un rouge gorge bien dodu picorait derrière le buisson d'aubépine. Je m'en approchais lentement. J'avais toujours été doué pour attraper les oiseaux. Le silence, un grand bond, et... c'est dans la poche ! Mais, cette fis-ci, ça n'a pas tourné aussi bien que prévu.
Je m'approchais de ma proie, mais soudain, le petite rouge-gorge leva la tête, et regarda dans ma direction. Plus un bruit, plus un geste... Trop tard. L'oiseau pousse un cri de détresse, et s'envole d'un coup d'aile jusqu'à la branche supérieure. Je saute quand même dans un geste de désespoir, mais retombe au sol, feulant et insultant la proie, qui me regarde avec fierté depuis le haut de sa branche.
- Sale volatile ! Je t'aurais, la prochaine fois !!
Mon ventre gargouilla. le rouge-gorge poussa la chansonnette, comme si il me narguait, et s'envole vers la forêt. Je meurs de faim !
Un autre bruit attire mon attention. Je tourne vers les broussailles. Cette fois-ci, c'est...

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#1 'Chasse' :


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#2 'Proie' :

Un faucon sautillait dans les branches, à la recherche de nourriture. En prenant soin d'être face au vent, pour ne pas que ma proie s'échappe cette fois-ci, je m'approche du grand oiseau. Les faucons sont en général grands et gros. Il y avait assez pour me remplir le ventre durant au moins une journée et demi !
Crac ! Perdu dans mes pensées, je marche sur une brindille. Le grand oiseau s'envole sans que je n'ai la temps de rien faire. Je cours dans un cri désespéré, saute, et lui arrache trois plumes de queue. Il pousse un cri et s'envole dans la direction des Montagnes.
- C'est pas vrai ! Qu'est-ce qu'il m'arrive, aujourd'hui ?! m'emportais-je.
Je secoue la tête, énervé, et me dirige vers la ferme des Merily.
Je saute sur la clôture de la ferme. Après avoir trouvé mon équilibre, je balaye l'espace du regard. Sur ma gauche, une sorte de mini nid, un peu comme les niches des chiens. A l'intérieur, j'entends des piaillement, des caquètements. C'est surement ici qu'ils gardent les poules, pensais-je. j'avais déjà rencontré ces animaux bizarres. Un peu comme de gros oiseaux, mais en plus laid et qui ne volent pas.
Sur la gauche, je reconnais le Pré pour les chevaux, et un peu plus loin derrière, la Bergerie.
Soudain, j'entends un miaulement.
- Ryna ? murmurais-je, plein d'espoir.
Après avoir regardé de chaque côté qu'il n'y avait aucun danger, je descends de la clôture, et m'approche du nid de Bipède, au centre de la petite cour. Devant, un monstre est endormit. Je ne prends tout de même aucun risque et en reste le plus éloigné possible. Par une fenêtre du nid de Bipèdes, j'arrive à apercevoir une Bipèdes se baisser pour donner à manger à un chat. Mais, il y a des espèces de pelages blancs devant la fenêtre. Je n'arrive pas à voir le pelage du chat.
- Ryna, c'est toi ? demandais-je comme à moi même, conscient qu'elle ne m'entends pas.
Après avoir mieux regardé, je pousse un long soupir et descends de la fenêtre. Ce chat, écaille-de-tortue, n'est pas ma sœur. Je me dirige vers la clôture, penaud.
Soudain, un aboiement me fait à nouveau sursauter. Deux énormes molosses poussent un grognement d'excitement et se précipitent vers moi en aboyant à tue-tête. Je pousse un petit cri de surprise et me précipite vers la clôture. J'atterris dessus en un bond, et me retourne pour regarder les deux molosses baveux de haut.
- Alors, vous faites moins les malins, maintenant, hein ? les narguais-je. Vous pouvez pas m'attraper, tralalaaa ♪ !
Je tire la langue aux deux chiens qui s'époumonent encore au pied de la clôture de bois, et continue de les énerver. Ils donnent de grands coups de pattes dans les planches de bois, les faisant trembler, et moi avec. Je plante mes griffes dans le bois pour ne pas perdre l'équilibre. Malheureusement, la clôture cède aux deux molosses. Je tombe avec elle. 2trangement, alors que j'étais pas terre, en train de me relever, ils ne bougèrent pas. Je me redressais, et les fixais, incrédule. Nous sommes restés là un instant, les yeux dans les yeux.
- Bon, ben, salut ! lançais-je au bout d'un moment.
Je détalais comme un lapin, espérant que les Bipèdes les empêcheraient de sortir de la ferme. Mes les deux chiens réagissent tout à coup, et me poursuivent à hurlant. C'est pas vrai, pensais-je. Ils ne me lâcheront jamais ! Si seulement on pouvait venir m'aider !

J'observait la ferme. Je ne savais pas ce que je cherchais mais peut-être que je le saurais. Je m' avançais. Peut-être quelqu’un à provoquer dans un combat ! Moi, Nuage sans rêve, adore provoquer les gens. Soudain je me raidit. Un aboiement de chiens !!! Je me rapprochais de l'endroit d' où venait le bruit. Un chat ! Il était poursuivi par deux molosses. Je réfléchit. Le laisser mourir torturé par les bêtes infâmes ou le sauver et le tuer ensuite de mes propres griffes ?

Je m' élançais. J' allais le sauver. Je me jetait sur l' un d'eux et lui griffait les yeux. Il arrêta sa course aveuglé par son sang. Je me jetait sur le deuxième lui griffant l' arrière train. Il poussa un cri de douleur je lui asséna un violent coup de patte. Il s'enfuit en courant car il avait vu ses Bipèdes. Je regardais le chat il me semblait familier. Je ne le tuerais pas tout de suite.

- Merci dit-il en me regardant bizarrement.
- De rien lui répondis-je en léchant mes griffes ensanglantées.

oops !

Je n' avais pas vu que Ryuk était mort. Mais je veux bien être sa soeur.

Oui, il est mort donc ^^ Tu pourrais être sa sœur, ce serait pas mal Mais maintenant qu'il est mort j'en vois plus trop l'interêt...

Par contre juste : tu peux préciser avec lequel de tes comtes tu écris s'il te plait au début ? Par exemple, quand tu écris avec Tornadou, met {Tornade Rousse}. Sinon on s'y perds un peu ^^

Nuit ans Rêve.