[Avant la Bataille] Discussion entre amis d'enfance [Pv Perle de Rêve]

Je faisais ma toilette dans mon "antre". J'avais tellement insisté pour avoir un coin à moi seul, auprès du chef, où je n'avais pas à supporter les autres membres du clan, que Varynen m'avais cédé, à condition de rester toujours loyal au Ténèbres. J'avais accepté. J'interdisais quiquonque de rentrer, de toute manière, les autres n'osaient pas le faire : J'étais capable de les transformer en chair à corbeau.
S'il y avait bien une personne que je n'arrivais pas à interdire l'accès à mon antre, c'était Perle de Rêve, une sorte de soeur pour moi, et ma seule véritable amies : Nous avions eu le même mentor pour nous apprendre à devenir de grands guerriers.
Même si je n'aimais pas quelle rentre sans ma permission, je ne pouvais pas l'attaquer, et elle le savait très bien. Depuis, elle aime beaucoup occuper mon antre un peu tout le temps.
Quelle chipie, celle là ! Mais je ne pouvais rien faire, c'était bien la seule personne que j'appréciais. Nous étions pareils, tout les deux.
D'ailleurs, la voilà. Encore et toujouts là pour me pourrir la journée, alors que j'avais besoin d'être seule. Et je ne pouvais rien faire !
Elle me dit d'un air narquois, moqueur :

- Boujour, Coeur Haineux ! Eh bien, tu ne sors pas ? Il fait beau dehors !

Je lui répondis pas un grognement.

- Sors de là, et laisse moi seul.

Je savais bien que cela ne suffirait pas à la faire sortir, mais, c'etait juste pour lui montrer ce que j'en pensais.
Elle me répondis alors;

....

- Sortir d'ici ? Certainement pas ! c'est toi qui doit plutôt venir dehors. Et vite !!!
m'étais je alors exclamé tout exité. Devine ce qu'il y a en ce moment au environ du camps... Au moins cinq lapins bien dodus !!!
tu pas laisser passer ça, avais -je terminé vigoureusement.

Aussitôt Coeur Haineux avait sursauté et s'était tourné complétement vers moi avant de se relever et de courir vers la sortie du camps en me criant :

- Allez, dépèche toi un peu ou quelqu'un d'autre va les attraper.

Amusé par son brusque changement de comportement je m'élançais à sa suite.

...

- Sortir d'ici ? Certainement pas ! c'est toi qui doit plutôt venir dehors. Et vite !!! a t-elle dit, toute excitée.

Pfft ! Tout ce que je voulais c'est qu'elle sorte et me fiche la paix.

- Devine ce qu'il y a en ce moment au environ du camps... Au moins cinq lapins bien dodus !!!
tu pas laisser passer ça, a elle terminé.

Oui, l'odeur du terrier sentait fort, maintenant qu'elle le disait. Je m'en fichais complètement, car le plus excitant c'était d'aller les voler dans les territoires ennemis.
Mais je la suivis quand même, une idée derrière la tête....
Je bondis, en faisait mine d'être joyeux.

- Allez, dépèche toi un peu ou quelqu'un d'autre va les attraper, lui lancais-je en courant.

Elle me rattrapa, amusée, et me dépassa sans regarder si je la suivait. Elle s'éloignait de plus en plus, et j'en profita pour faire un rapide demi-tour jusqu'à mon antre. Enfin tranquille....
Je m'allongea tranquillement, mais quelques minutes plsu tard, j'entendais déjà se spas dans le tunnel qui menait à l'entrée du camp.

....

Lorsque j'eu compris que Coeur Haineux ne me suivait plus, je sentis la moutarde me monter au nez.
Pas seulement quelque petit grain de moutarde, ah ça non!! C'était tout le pot qui était en train de me faire voir rouge.
Encore une fois, ma prétendue "soeur de coeur" s'était moquée de moi. Cette fois ci je ne pouvais pas la laisser faire!!

J'était donc repartit vers le campement à toute vitesse, la colère accèlerant mes pas.
Puis je suis entrée dans son"antre" et là je m'avançait vers elle et lui donnait un petit coup de patte sur le nez.
Pas de quoi lui faire mal bien sûr, se n'était pas mon attention. Et en fin je m'assis dos à elle et ne lui adressé plus en regard.
Il me regarda et me demanda tout en se frottant le nez :

"Mais enfin qu'es ce qu'il t'arrive ?

- ça ne se voit pas, m'écriais-je, froissé qu'elle n'est pas compris, Je boude !!

Elle entra en trombe dans mon antre, en colère. Elle me donna un coup de pattes ur le nez et son regard me lança des éclairs.
Elle me tourna le dos complètement. A mon avis, le plus simple serait de sortir de ma tanière si elle ne voulait plus me voir.
Pour me moquer encore plus, je lui dit, :

- Mais enfin qu'es ce qu'il t'arrive ?

En vérité je savais très bien que je l'avais vexée.

- Ça ne se voit pas, s'écria-elle, froissé : Je boude !!

J'éclata d'un grand rire franc, preuve que je m'étais fichu d'elle complètement.
Elle se jeta sur moi, sans sortir les griffes pour ne pas me blesser, et je la repoussa d'un coup de patte.
Elle roula sur le côté et se releva d'un coup. Elle me regarda d'un regard haineux et colèrique.
Puis, à son tour, elle éclata de rire et nous rîmes un bon coup.
Tout en reprenant notre souffle, elle me dit :

....

[Au fait : Je suis un gas]

Bon d'accord, je ne lui en avait pas voulu très longtemp. Mais comment est-ce-que j'aurais pu ?
Car malgré nos différences, Coeur Haineux était mon frère de coeur adoré,
nous étions avions le mentor et étions devenu des guerrière féroce en même temps.

Aussi je cédai et éclatai de rire, ça fesait longtemps que je n'avait pas ri comme ça.
Mais là, je riais de concert avec lui et nos rire combiné aurait pu faire trembler la forêt entière.
Puis, de long minute après, épuisé et ayant des courbature d'avoir trop ri, nous nous écroulame tous deux à terre côte à côte et encore toute essouflé.
Enfin Je me tournai vers lui et lui dit très sérieusement... ou presque :

" Sache que le fait que nous ayons ri ne veux pas dire que je ne t'en veux plus et je suis toujours fermement décidais à te faire la tête .

- Oh ça va, me répondit t'il avec une pointe d'ironie, je sais très bien que tu m'en veux plus et de ma part je m'excuse de t'avoir roulé.
Alors on fait la paix ajouta t'il encore en me tendant sa patte.

- OK, approuvais-je en tapant sa patte, Mais on n'est pas quitte et un jours ces moi qui te jouerez un tour !!

J' étais en train de dormir au pied du tas de déchets. Ils m' avaient réveillée à parler si fort. Je me levais, en rogne. J' écoutait leur conversation comme toujours "passionnante"
- Vous pouvez parler moins fort les commères ?

Cœur Haineux me dévisagea et eu un sourire machiavélique. Je continuais de le regarder. Et puis il n' avait pas à me regarder comme ça ce tas de chair à corbeau. Je vais t' apprendre à me rigoler au nez comme ça moi !

Je lui sautais dessus mes griffes sortaient légèrement. Je voulais lui monter comment je me suis améliorée pendant notre dernier affrontement.

- [...]

Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant ri. Avrais-dire, je n'avais ri depuis que j'étais apprenti, ou même bien avant. Il fallait que je ressaissise, ou d'autres se moqueraient de moi.
Au fond, ça avait quand même du bon : Je me sentais soudain de bonne humeur.

- Sache que le fait que nous ayons ri ne veux pas dire que je ne t'en veux plus et je suis toujours fermement décidais à te faire la tête .

Je savais bien que elle ne tiendrais pas un quart d'heure.
- Oh ça va, je sais très bien que tu m'en veux plus et de ma part je m'excuse de t'avoir roulé. Alors on fait la paix.

C'était bien la première fois depuis longtemps que je m'escusais. C'était la seule personne à qui je m'escusais d'ailleurs. Et à personne d'autre.

- OK, approuva-telle, Mais on n'est pas quitte et un jours ce sera moi qui te jouerais un tour !!

Dans l'embrasure de l'ouverture de ma tanière, apparaissait Nuage Sans Rêve. Elle était toujours là pour me tourmenter, mais j'étais de bonne humeur, et je ne voualit pas laisser cette bonne humeur s'échapper si vite.
- Vous pouvez parler moins fort les commères ? dit elle, sarcastique.

Je la regarda, avec un sourire moqueur. Je l'ignora et me retourna vers Perle de Rêve.
Soudain, j'endentis une sorte de petit grincement derrière, moi, et le gravier qui crissait. Je me retourna rapidement : C'était Nuage Sans Rêve qui m'attaquait. Je l'évita, et lui donna une un eptit coup sur le ventre, qui ne suffit pas à la renverser pour autant.
Elle retenta, mais je ne voulais pas me battre.

- Nuage Sans Rêve, fiche moi la paix.

[....]

Exaspéré, je levai les yeux au ciel. Non mais c'était incroyable ça !!! Elle n'était pas capable de se voir sans devoir forcémentse battre.
Comme je n'avais pas envie d'assister à leur petite séance de "Je te déteste le plus !! Non c'est moi qui te deteste le plus !! Non c'est moi !!etc", Je me relevai et partit discrétement m'assoir à l'orêt de la forêt. Là je fermai les yeux et humé les odeur qui m'entourait.

Il y avait celle reconnaissable des idiots de membres de mon clan, celle des feuilles humides et de l'écorce mouillé, ainsi que celle du lait de la poupomnière.
Mais, au millieu de toute ces senteurs, il y en avait une qui n'était pas comme les autres. Et quand je la reconnu, je me relevai et pénétrai dans le bois.

Tout en suivant la piste, l'odeur se renforcée et je pus bientôt en être sûr. Oui, c'était l'odeur des lapins dont j'avait parler il y a pas longtemps à Coeur Haineux.
Enchanté je courais de plus belle, m'efforçant tout de même de faire en sorte d'être discret.
Enfin, au détour d'un chemin, je frénai brusquement. Il était là !!

Aussitôt je m'allonger dans l'herbe avec seulement mes oreilles qui dépassaient. je rampai doucement en direction des petits bruits fait par les lapins.
Et quand je ne fus plus qu'à deux pas... Je bondis...

Et ça recommençais, encore et encore. Elle fonçai habilement sur moi, je l'évitais, en essayant de préserver ma bonne humeur. Trop tard ! Je la sentais déjà baisser, et j'avais de plus en plus envie de me jeter sur mon ennemie.
Nous étions tellement pris par le comabt, que ni elle ni moi ne remarquâmes le départ de Perle de Rêve.
J'allais bientôt m'en rendre compte.

Agacé, je me releva un instant pour parler à Perle de Rêve.
- Perle de Rêve ! Tu vois bien comme elle est énervante ! Et je ne lui ait RIEN fait.

Nuage sans rêve me fusilla du regard, se jeta sur moi et je l'esquivais, même si mes griffes me démangeaient de l'attaquer aussi.

- En tout cas pas de la journée., me repris-je.

Je tourna la tête pour voir ce qu'en pensait Perle de Rêve, mais elle avait disparu. Et c'est là ou je compris qu'elle était partie depuis bien longtemps.

- Crotte de renard ! m'esclamais-je.

Je sortit le plus rapidement possible, ayant une petite idée d'où elle était partie, et Nuage sans Rêves sur les talons....


. . .

[Je lance pas les dé, c'est grave ?]

Le lapin m'entendit et se releva, mais il avait peine bougé une oreille que je lui tombais déjà dessus.

Affamée, je lui tranchais rapidement la gorge d'un coup de griffe et commençé à me régaler.
J'aurais pu bien sûr le ramener au camp ou bien attendre Coeur Haineux, Mais je n'avais pas envie. Cette proie là c'était la mienne !!

Lorsque j'eus fini, je me relevai et m'étirer. Mais j'avais toujours faim, et pour le moment je n'avais trouvé qu'un seul lapin et il en restait encore quatre.
Aussi je me remis en chasse. Je replongeais parmi les herbe, mon ventre maintenant plein frôlant la terre humide à cause des dernière pluie.

Et lorsque je le vis, mes pensées s'en allèrent et il ne resta plus que ma faim.
Emporté par mon élan je m'élançais. Et au moment ou j'allais planté mes griffes dans son cou... Quelques chose me transperça la jambe !!

Mon hurlement de douleur fit fuire toute les proie de la forêt.
Avec une grimace je regardai ce qui m'avait attrapé et je constatai avec effroi que j'était coincé dans un piège à renard !!
Ma jambe avait commençé à saigner très fort et il me fallait serrer les dents pour ne pas m'évanouir.
Je me sentais mal et la tête me tournait.

Alors je me dis que peut-être Coeur Haineux s'était aperçu de mon absence et c'était lançée à ma poursuite, mais je ne sentais pas son odeur aux alentours.
Désespéré je fini par me dire que j'allais rester ici éternellement, et que je mourrais dans un piège destiné à l'un de ces stupide renard.

Et c'est lorsque que je me fut résignée que je m'aperçu qu'une tête blanche sortait des fourrait et m'observait depuis déjà plusieurs minutes.

Un cri déchirant retentit dans la forêt.
Non ! Cela pouvait être Perle de Rêve ! D'autant plus, que, j'avais oublié de la prévenir : Il y avait des pièges à renard vers la frontière du Clan du Brouillard.

- PERLE DE RÊVE !!!

Aucune réponse. Desespéré, je hurlais de plus belle, mais rien n'y fit.
Je courrais à perdre haleine dans les taillis, desespéré, me prenant les pattes dans les racines, et les branches me griffaient le visage et la fourrure.

- Perle de Rêve ! Perle de Rêve, hurlais-je

Je ne faisait même plus attention à Nuage Sans rêve, qui tentait de me rattraper et de me faire tomebr à terre. Plusieurs fois j'ai faillis m'enfoncer dans la boue par sa faute, mais je continuais de courir, épuisé.